(en gros, pour ceux qui auraient pas suivi, ou ceux qui seraient pas Belges, ou ceux qui sont Belges mais ont décroché depuis longtemps: Elio Di Rupo est un
Si vous n'avez pas décroché en lisant le paragraphe ci-dessus, vous tenez une partie de la réponse à mon titre. 78 jours depuis les élections. Septante-huit. Soixante-dix-huit. AKA à peu près autant de billets blog (allez, soyons optimistes) à parler de politique? Enfin, à jouer les Soeurs Anne (ne vois-tu rien venir? Je ne vois que la N-VA qui parloie et Spa-Francorchamps qui paddocke) parce que pour le reste...
Non, franchement, je laisse ça aux journaux télévisés (qui en viennent même à voir dans un arc-en-ciel au-dessus du palais royal l'un ou l'autre présage*) et aux blogueurs fines mouches qui décortiquent l'ambiance politique avec beaucoup de talent. Et qui le font bien mieux que je ne pourrais l'espérer pour moi-même.
N'allez pas croire cependant que je m'en tamponne, de la politique, hein! Au contraire, j'adore ça. Ca m'intéresse, mais uniquement dans le cadre de mon boulot. Je reste informée dans la mesure de mes possibilités, j'essaie de comprendre les enjeux, je lis beaucoup. Mais ça s'arrête là: je ne me reconnais aucune légitimité pour gloser là-dessus. J'ai mes opinions et je les garde à peu près pour moi. Déformation professionnelle, sans doute... J'essaie de garder une frontière
Je m'autorise juste à réagir à des sujets de société qui m'interpellent, mais les sujets de société, ça peut toujours virer politique, n'est-ce pas? ;-)
Et puis, une fois qu'on a fini de scruter Laeken/le ciel/les ministères/les réactions/les blogs politiques/les sites internet des journaux/les augures/..., faut bien se dérider un peu.
Alors permettez-moi de vous offrir ces intermèdes futiles assumés, légèrement réfléchis, des tranches de vie, des tranches de fesses. Des coups de co(ul)eur. Et si un jour on a un gouvernement, promis, j'en parlerai pas.
*et pourquoi pas égorger un poulet et lui lire les entrailles, hein?
Mais pourquoi ne t'ai-je pas lue plus tôt.
RépondreSupprimerTa prose est savoureuse et réjouissante comme des croustillons trop chauds ;-)
Décidément, c'est culinaire, entre nous :D
RépondreSupprimer(mais j'adore les croustillons, merci!)
(ça veut dire que c'est gras, aussi? :s)
:D
RépondreSupprimerHeu, j'ai cherché longtemps la bonne analogie.
En tout cas, c'est gourmand ;)
et je te remercie de ne pas parler politique parce que je ne te lirais plus alors... je n'en parle pas non plus parce que je n'y connais rien et que je suis totalement paumée dans leur dédale. vive la futilité sur les blogs!
RépondreSupprimer@Julien: je te charrie, j'adore les croustillons, donc merci :-)
RépondreSupprimer@Annick: oui, vive la futilité subtilement dosée! Et une touche de réflexion de temps en temps, juste pour ne pas se lasser :D
Un zeste de grelucherie, une pince de méchanceté, une tombée d'intellectualisme et une belle giclée d'humour... c'est la réussite d'un blog assurée. Et finalement il semble que tu as bien capté le système !
RépondreSupprimer@Sekhmet: merci pour le compliment! (et bienvenue zen ces contrées bubblesques ;-) )
RépondreSupprimerhonte à moi mais je décroche complètement :s
RépondreSupprimerRassure-moi: de la politique ou de mon blog? ;-)
RépondreSupprimerde la politique voyons ! Comme tu as pu le remarquer, je suis assez "active" sur ton blog lol
RépondreSupprimerOui, et ça me fait plaisir!
RépondreSupprimerSmoutch!