dimanche 18 avril 2010

Et rond et rond petit macaron

Dans ma famille, organiser un petit dîner quasi à l'improviste (genre une semaine à l'avance) relève des compétences d'une secrétaire de premier ministre, voire de président du monde, rien de moins. Entre celles qui bossent déjà "pour de vrai" et -évidemment- souvent le week-end et celles qui ne bossent que le week-end parce qu'elles étudient la semaine, ya à peu près que mon père, pensionné, qui ne pose pas de problèmes quand il n'est pas parti en vacances aux quatre coins de la France. Sans compter une soeur qui se rebarre dans deux semaines définitivement en Australie. Tu multiplierais pas un peu le nombre de soeurs pour te plaindre, toi? se demande le lecteur méfiant. Que nenni, mon ami! J'en ai quatre. Quatre? Oui quatre. Et je t'épargne la question suivante: je suis l'aînée, eh oui. On peut reprendre le fil de l'histoire ici? Merci.

Donc quand j'ai appris que je partais, j'ai essayé de réunir tout le monde pour un petit dîner sur le pouce à la maison. Je vous épargne les "moi ça me va le samedi entre 13h et 15h et éventuellement le dimanche entre 16h30 et 19h", "ah! moi justement ça me va avant 16h30 le dimanche mais après im-pos-sible!!". On a fini par tomber d'accord pour dire que hier soir on pouvait laisser tous les autres trucs méga-importants pour se retrouver.

Au final, ça a donné le plaisir de se réunir, des discussions sur des petits riens qui font le sel des retrouvailles... et quelques délices pour nous expédier au sixième ciel et demi (restons modeste).








Voilà les trois malheureux (sur 15) qui restent après la dégustation familiale. Depuis le petit rose (à la fraise) a disparu sans laisser de miettes et les deux autres ne vont pas tarder à le rejoindre au cimetière des petits macarons délicieux.

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